Le mot « rentrée » avec son préfixe « re- » sous-entend d’abord un mouvement de répétition.
Mais il suggère aussi, à bien y penser, un cadre où il existe un « dehors » et un « dedans« .
Avec son lot d’incertitudes cette année, le moment de la rentrée apparaît moins « évidente » que d’autres années où l’on ne se posait même pas la question.
Mais du coup, c’est peut-être l’occasion de se poser individuellement, ou en groupe, la question:
s’il faut « rentrer », en quoi (voire: pourquoi?) est-ce que nous avons envie de rentrer?
Oui, comment vous finiriez la phrase: « Cette année, j’aimerais entrer/rentrer en……………… »