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Il est le premier livre du Pentateuque Le Pentateuque (le mot signifie les cinq rouleaux) comprend les cinq premiers livres de l'Ancien Testament, soit Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome. Dans la tradition juive, ces cinq livres sont désignés comme "la Loi".
Un récit étiologique explique -le plus souvent à travers une histoire- l’origine d’un nom (de lieu ou de personne), d’une situation ou d’une coutume. Dans le récit de la création, la parole que Dieu adresse au serpent : Genèse 3, 14 « tu marcheras sur ton ventre » peut être comprise dans ce sens.
Le livre de la Bible qui leur est attribué, se présente comme une anthologie de héros qui interviennent après l’installation des tribus d’Israël en Canaan par Josué (successeur de Moïse) et avant l’instauration de la royauté en Israël (Saül, David, Salomon…), royauté qui durera jusqu’à l’Exil. Ces figures appelées « juges » sont des figures héroïques toutes différentes les unes des autres.
Tribu importante, qui resta fidèle à la dynastie davidique avec la tribu de Benjamin au moment du schisme en 2 royaumes (celui du Nord, Israël et celui du Sud, Juda). Son territoire et celui de Benjamin devinrent le royaume de Juda, jusqu’à la prise de Jérusalem en 586 av.
La Bible raconte que c’est à partir des 12 fils de Jacob/Israël que se fit la division du peuple d’Israël en tribus. Mais les textes diffèrent au sujet du nombre et des noms des tribus à comptabiliser à cause des 2 fils de Joseph, Ephraïm et Manassé parfois comptés comme 2 tribus distinctes, parfois non car la tribu de Lévi était mise à part.
Membre du peuple d’Israël.
Capitale du royaume d’Israël sous David et Salomon, puis du royaume de Juda. Ville où le temple fut construit.
Ce livre raconte l’histoire d’Esther, femme juive en exil dans l’empire perse, qui devient reine et peut ainsi sauver son peuple du massacre programmé par Haman en demandant au roi, son mari, de permettre aux juifs de se défendre le jour prévu pour le massacre ; ce qui sera présenté comme étant l’origine de la fête juive de Pourim (des « sorts »). Le livre de la Bible hébraïque ne comporte pas le nom de Dieu ; la version grecque (plus longue) mentionne Dieu plusieurs fois, ce qui l’a rendu plus acceptable et en tout cas plus religieux.