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Aristotélisme

Il s’agit du développement et du commentaire de la pensée d’Aristote Il est disciple de Platon, précepteur et ami d'Alexandre le Grand. Pour lui, la philosophie offre une vision ordonnée de l'ensemble du savoir humain.

Ascèse/ascétique

Vient du mot grec askesis qui veut dire  » exercice, peine que l’on endure « . On désigne par ascèse le choix religieux de limiter, voire de renoncer temporairement (ou définitivement) à la nourriture et/ou à la boisson, au confort d’une habitation (vie itinérante), au sommeil, au vêtement, aux biens sous toute forme, à une vie sexuelle, etc.

Apocryphe

Ce terme vient du grec apokruphos qui signifie  » secret « ,  » caché « ,  » mystérieux « . Les apocryphes désignent donc des livres qui exigent une initiation particulière, par opposition aux livres lus en public et accessibles à tous.

Apologétique

L’apologétique est la partie de la théologie ou un discours théologique qui vise à défendre la religion chrétienne contre ses détracteurs et fonder ainsi la foi des fidèles eux-mêmes .

Septante

Traduction grecque de la Bible hébraïque entreprise par les communautés juives d’Alexandrie en Egypte au 3e siècle av. JC.

Stoïcisme

Ecole philosophique fondée par Zénon (335-264 av. JC à Athènes).

Agapes

Ce mot désigne des repas communautaires partagés entre chrétiens, accompagnés de prières, mais distincts du repas du Seigneur (appelé aussi eucharistie Vient du verbe grec eucharistein (" rendre grâces "). Le mot désigne aujourd'hui le repas célébré en mémoire du dernier repas de Jésus avec ses disciples.

Orthodoxie

L’étymologie grecque de ce mot signifie l’opinion (doxa) droite (orthè). C’est l’ensemble des idées ou conceptions traditionnellement admises dans une discipline (art, science, morale…) ou une institution (parti, école, Eglise…).

Monophysites

Ce terme vient de deux mots grecs : monos,  » seul  » et phusis, nature. Ils désignent les chrétiens ou Eglises qui attribuent au Christ une seule nature.

Prosélyte/Prosélytisme

Ce mot vient du grec prosèlutos qui est lui-même la traduction de l’hébreu ger qui désigne l’étranger installé dans le pays et naturalisé. Il est utilisé dans le Nouveau Testament pour désigner le païen qui est venu s’ajouter au peuple juif en pratiquant sa religion comme le  » craignant Dieu  » (Actes 10,2,22 ; 13,16), mais aussi en acceptant la circoncision (Actes 2,10 ; 6,5).