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Parole

Au premier siècle imprégné de philosophie stoïcienne, ce terme (logos), en tant que nom propre, désigne la Raison, le Principe qui gouverne le monde. Dans la culture juive de ce temps, cette notion trouve son pendant dans la figure de la Sagesse (sophia) personnifiée, comme  » messagère  » de Dieu à travers la loi de Moïse mais aussi, dans une certaine mesure, à travers la raison universelle.

Sacrement

Il s’agit d’un acte, geste ou signe accompli par les Eglises chrétiennes au cours du culte dans la fidélité à leur Seigneur. Un texte luthérien les définit comme  » les rites qui font l’objet d’un commandement de Dieu et auxquels est jointe la promesse de la grâce « .

Mystère

Le mot  » mystère  » vient du grec mystérion qui signifie littéralement  » ce qui est fermé, caché « . Ce mot prend un sens particulier dans la littérature chrétienne.

Trinité

La Bible parle de Dieu comme un Père, elle parle également de son Esprit, et de son Fils, mais ne dit pas grand chose de la nature des relations qui unissent ces trois  » personnes « . Le dogme Vient d'un verbe grec dokein qui signifie " croire ", " décider " et qui a donné dogma : " opinion " ou " décision ".

Calvaire

Du latin cauvaire qui signifie « crâne ». Le mot latin a servi aux chrétiens pour traduire « Golgotha » qui signifie « lieu du crâne » (Matthieu 27,33).

Marguerat, Daniel

L’homme qui venait de Nazareth, Lausanne : Moulin, 1995. Lecture pour tout un chacun.

Incarnation
Pourquoi cet événement est-il si important pour les Chrétiens ?
Hérésie/Hérétique

Vient d’un verbe grec (haireo) qui veut dire  » choisir « . Dans le monde grec, il décrit un choix opéré dans le domaine scientifique, religieux ou politique.

Orthodoxie

L’étymologie grecque de ce mot signifie l’opinion (doxa) droite (orthè). C’est l’ensemble des idées ou conceptions traditionnellement admises dans une discipline (art, science, morale) ou une institution (parti, école, Eglise…).

Sacré

L’adjectif  » sacré  » s’applique à ce qui est consacré à Dieu. Largement diffusé par l’Eglise jusqu’au 16e siècle, il qualifie ce qui appartient à un domaine interdit et inviolable (par opposition à profane) et qui fait même l’objet d’un sentiment de révérence religieuse.