un percepteur - Textes bibliques
Notre passage se trouve précédé de textes concernant Jean-Baptiste, qui mentionnent la conversion :
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Luc 3,3-8
Jean-Baptiste vint dans toute la région du Jourdain, proclamant un baptême de conversion en vue du pardon des péchés
comme il est écrit au livre des oracles du prophète Esaïe : « Une voix crie dans le désert : Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers.
Tout ravin sera comblé, toute montagne et toute colline seront abaissées ; les passages tortueux seront redressés, les chemins rocailleux aplanis ; et tous verront le salut de Dieu. »
Jean disait alors aux foules qui venaient se faire baptiser par lui : « Engeance de vipères, qui vous a montré le moyen d’échapper à la colère qui vient ?
Produisez donc des fruits qui témoignent de votre conversion ; et n’allez pas dire en vous-mêmes : « Nous avons pour père Abraham. » Car je vous le dis, des pierres que voici Dieu peut susciter des enfants à Abraham. »Est-ce la même idée de conversion que dans la bouche de Jésus (en 15,7 et en 24,47)? Cela n’est pas sûr.
Le verbe » se convertir » se trouve 9 fois dans l’évangile de Luc :
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Luc 10,13
Malheureuse es-tu, Chorazin ! Malheureuse es-tu, Bethsaïda ! car si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps qu’elles se seraient converties, vêtues de sacs et assises dans la cendre.
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Luc 11,32
Lors du Jugement, les hommes de Ninive se lèveront avec cette génération et ils la condamneront, car ils se sont convertis à la prédication de Jonas ; eh bien ! ici il y a plus que Jonas.
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Luc 13,3
Non, je vous le dis, mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.
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Luc 13,5
Non, je vous le dis, mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de la même manière.
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Luc 15,7
Je vous le déclare, c’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion.
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Luc 15,10
C’est ainsi, je vous le déclare, qu’il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit.
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Luc 16,30
L’autre reprit : « Non, Abraham, mon père, mais si quelqu’un vient à eux de chez les morts, ils se convertiront. »
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Luc 17,3-4
Tenez-vous sur vos gardes. Si ton frère vient à t’offenser, reprends-le ; et s’il se repent, pardonne-lui. Et si sept fois le jour il t’offense et que sept fois il revienne à toi en disant : « Je me repens », tu lui pardonneras.
Ce mot est employé deux fois dans l’évangile de Luc. On pourrait le traduire par « réception ».
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Luc 14,13-14
Au contraire, quand tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles, et tu seras heureux parce qu’ils n’ont pas de quoi te rendre : en effet, cela te sera rendu à la résurrection des justes.
Cette recommandation devait profondément choquer ceux qui l’écoutaient, car le « principe » même de l’invitation était de se faire inviter en retour. Cela n’est pas possible si on invite des gens qui n’ont pas de quoi vous inviter par la suite.
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Marc 2,13-17
Jésus s’en alla de nouveau au bord de la mer. Toute la foule venait à lui, et il les enseignait. En passant, il vit Lévi, le fils d’Alphée, assis au bureau des taxes. Il lui dit : « Suis-moi. » Il se leva et le suivit. Le voici à table dans sa maison, et beaucoup de collecteurs d’impôts et de pécheurs avaient pris place avec Jésus et ses disciples, car ils étaient nombreux et ils le suivaient. Et des scribes pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les collecteurs d’impôts, disaient à ses disciples : « Quoi ? Il mange avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs ? » Jésus, qui avait entendu, leur dit : « Ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin de médecin, mais les malades ; je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. »
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Matthieu 9,9-13
Comme il s’en allait, Jésus vit, en passant, assis au bureau des taxes, un homme qui s’appelait Matthieu. Il lui dit : « Suis-moi. » Il se leva et le suivit. Or, comme il était à table dans sa maison, il arriva que beaucoup de collecteurs d’impôts et de pécheurs étaient venus prendre place avec Jésus et ses disciples. Voyant cela, les Pharisiens disaient à ses disciples : « Pourquoi votre maître mange-t-il avec les collecteurs d’impôts et les pécheurs ? » Mais Jésus, qui avait entendu, déclara : « Ce ne sont pas les bien-portants qui ont besoin de médecin, mais les malades. Allez donc apprendre ce que signifie : C’est la miséricorde que je veux, non le sacrifice. Car je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. »
On peut aller voir la rencontre avec un aveugle, ainsi que les textes suivants.
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Luc 5,1-11 : les premiers disciples
Or, un jour, la foule se serrait contre lui à l’écoute de la parole de Dieu ; il se tenait au bord du lac de Gennésareth. Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs qui en étaient descendus lavaient leurs filets.
Il monta dans l’une des barques, qui appartenait à Simon, et demanda à celui-ci de quitter le rivage et d’avancer un peu ; puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance en eau profonde et jetez vos filets pour attraper du poisson. »
Simon répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
Ils le firent et capturèrent une grande quantité de poissons ; leurs filets se déchiraient.
Ils firent signe à leurs camarades de l’autre barque de venir les aider ; ceux-ci vinrent et ils remplirent les deux barques au point qu’elles enfonçaient.
A cette vue, Simon Pierre tomba aux genoux de Jésus en disant : « Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un coupable. »
C’est que l’effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pris ;
de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, qui étaient les compagnons de Simon. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu auras à capturer. »
Ramenant alors les barques à terre, laissant tout, ils le suivirent.
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Luc 9,11 : la foule
Les foules le suivirent. Jésus les accueillit ; il leur parlait du Règne de Dieu et il guérissait ceux qui en avaient besoin.
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Luc 9,23
Puis il dit à tous : « Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-même et prenne sa croix chaque jour, et qu’il me suive. »
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Luc 9,57-61
Comme ils étaient en route, quelqu’un dit à Jésus en chemin : « Je te suivrai partout où tu iras. »
Jésus lui dit : « Les renards ont des terriers et les oiseaux du ciel des nids ; le Fils de l’homme, lui, n’a pas où poser la tête. »
Il dit à un autre : « Suis-moi. » Celui-ci répondit : « Permets-moi d’aller d’abord enterrer mon père. »
Mais Jésus lui dit : « Laisse les morts enterrer leurs morts, mais toi, va annoncer le Règne de Dieu. »
Un autre encore lui dit : « Je vais te suivre, Seigneur ; mais d’abord permets-moi de faire mes adieux à ceux de ma maison. »
Jésus lui dit : « Quiconque met la main à la charrue, puis regarde en arrière, n’est pas fait pour le Royaume de Dieu. » Comme ils étaient en route, quelqu’un dit à Jésus en chemin : « Je te suivrai partout où tu iras. »
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Luc 18,22-30 : le jeune homme riche
Un notable interrogea Jésus : « Bon maître, que dois-je faire pour recevoir la vie éternelle en partage ? »
Jésus lui dit : « Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon que Dieu seul.
Tu connais les commandements : tu ne commettras pas d’adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne voleras pas, tu ne porteras pas de faux témoignage, honore ton père et ta mère. »
Le notable répondit : « Tout cela, je l’ai observé dès ma jeunesse. »
L’ayant entendu, Jésus lui dit : « Une seule chose encore te manque : tout ce que tu as, vends-le, distribue-le aux pauvres et tu auras un trésor dans les cieux ; puis viens, suis-moi. »
Quand il entendit cela, l’homme devint tout triste, car il était très riche.
Le voyant, Jésus dit : « Qu’il est difficile à ceux qui ont des richesses de parvenir dans le Royaume de Dieu !
Oui, il est plus facile à un chameau d’entrer par un trou d’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume de Dieu. »
Les auditeurs dirent : « Alors, qui peut être sauvé ? »
et lui répondit : « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. »
Pierre dit : « Pour nous, laissant nos propres biens, nous t’avons suivi. »
Il leur répondit : « En vérité, je vous le déclare, personne n’aura laissé maison, femme, frères, parents ou enfants, à cause du Royaume de Dieu, qui ne reçoive beaucoup plus en ce temps-ci et, dans le monde à venir, la vie éternelle. »