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Un verbe, des sens... Protester, sauver, réformer
L'histoire du christianisme a été profondément marquée par le mouvement de la Réforme au 16e siècle. La redécouverte d'un salut gratuit, la naissance d'Eglises protestantes, réformées : autant d'expressions souvent utilisées, si difficiles à clarifier. Sous la plume d'auteurs, les verbes "protester", "sauver", "réformer" éclairent notre compréhension.Au pays des merveilles, Alice proteste ouvertement. Se contente-t-elle de dire son mécontentement ? La protestation est-elle avant tout une proclamation, une affirmation ? Mais alors quel est son contenu ? Etre "protestant" signifie-t-il être un contestataire ?Max Jacob, mort en déportation, écrit un poème qui parle d'une expérience de salut. Ce mot "salut" a-t-il encore du sens aujourd'hui ? Et de quoi l'homme aurait-il besoin d'être sauvé ? Et pourquoi Dieu le sauverait gratuitement, sans rien lui demander en retour ?Le petit Prince a bien du mal à comprendre quel est ce pouvoir tant convoité par les adultes. Faudrait-il "réformer" l'exercice du pouvoir ? Au 16e siècle, une Réforme a eu lieu : pourquoi ? Que voulait-elle obtenir ? Qu'a-t-elle engendré ? Et aujourd'hui, faut-il encore parler de "réforme" ?
Choisir
Choisir, c'est prendre des responsabilités
Libérer
La liberté proposée par Dieu est-elle celle revendiquée par l'homme?
Aimer
De quel amour parle la Bible?
Un verbe, des sens... Aimer, libérer, choisir
Quand la littérature aborde les grandes questions de la vie, elle explore et embarque son lecteur dans de nouvelles aventures. Les auteurs manient les verbes et sous leur plume, "aimer", "libérer" et "choisir" prennent sens. Ce module propose de les faire dialoguer avec ce que peut en dire la Bible, la foi chrétienne, la théologie. Lorsque Shakespeare embrase les cœurs de Roméo et Juliette, nous parle-t-il d'un amour "interdit" ? La Bible reconnaît-elle cette passion amoureuse ? De quel amour parle Jésus ? En existe-t-il de différents ?En pleine seconde guerre mondiale, sous l'occupation, Eluard lance ce cri : "Liberté, j'écris ton nom !". Ce combat est-il fini ? Qu'en disent les théologiens ? De quelle liberté parle la Bible ? Pour en faire quoi ?Et lorsque le Dom Juan de Molière s'évertue à aimer toutes les femmes qu'il croise sur son chemin sans parvenir à ne choisir aucune d'entre elles, que nous dit-il de l'engagement ? Choisir, est-ce prendre une responsabilité ? L'homme est-il si libre que cela de choisir ?
Etre heureux
Un chrétien est-il forcément un homme heureux ?
Mourir
La mort est-elle une punition infligée par Dieu ? Et après, qu'y-a-t-il ?
Vivre
Joie de vivre et plaisirs de la vie, sont-ils à contre-courant du christianisme ?
Un verbe, des sens...Vivre, Mourir, Etre heureux
Quand la littérature aborde les grandes questions de la vie, elle explore et embarque son lecteur dans de nouvelles aventures. Les auteurs manient les verbes et sous leur plume, "vivre", "mourir" et "être heureux" prennent sens. Ce Parcours-Découverte propose de les faire dialoguer avec ce que peut en dire la Bible, la foi chrétienne, la théologie. Lorsque Camus célèbre ce que la vie offre de beautés et de plaisirs des sens, est-il si loin de ce que le christianisme perçoit de la vie offerte par Dieu ? Cette rencontre avec Camus interroge : la vie est-elle sacrée ? la vie a-t-elle du sens ? qui l'inspire ? Dieu la dirige-t-il ?La Fontaine personnifie la mort et lui offre une fable. Que nous apprend-il sur les représentations que nous avons aujourd'hui de la mort ? Meurt-on de la même façon chez La Fontaine que chez nous ? Pourquoi ? La mort serait-elle "une punition" de Dieu ?Et lorsque Perrault livre sa version de Cendrillon : tout est bien qui finit bien. Cette image du bonheur trotte encore dans les esprits. Mais est-elle pertinente ? Est-ce à ce même bonheur que la Bible nous invite ? Est-ce que Dieu nous offre lui aussi ce "happy end" ?
Anthropomorphique

Ce terme vient de deux mots grecs anthrôpos qui signifie l’homme (homme et femme) et morphê qui signifie la forme. Ce terme désigne en théologie une manière de parler de Dieu comme si c’était un homme, tant au niveau des sentiments que des actions .