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Pâques, c’est… un tombeau ouvert, un mort qui n’est pas resté là où on l’a posé, plein d’interrogations à propos de cette absence.
Et l’absent donne -par intermédiaires- ordre de rejoindre les routes où l’on peut le rencontrer: la Galilée pour les disciples, les Ecritures pour celles et ceux qui se mettent à sa recherche aujourd’hui.
Un tombeau ouvert… et des Ecritures qui s’ouvrent…
Bonnes Pâques!
Un commentaire biblique est un ouvrage qui commente verset par verset le texte biblique. Il en existe pour tous les livres de la Bible.
Table alphabétique des mots employés dans la Bible, avec indication des textes qui les contiennent. Il existe une concordance pour le texte original (hébreu et grec) ainsi que pour chaque traduction en français.

La fête la plus importante pour l’année liturgique est bien Pâques!
Sans Pâques, aucun Evangile n’aurait été écrit, sans Pâques, rien n’aurait été transmis des paroles et gestes d’un certain Jésus de Nazareth.
A travers le temps, des traditions se sont développées, des images ont été inventées, des symboles investis pour parler de cette fête qui indique un tombeau vide, qui questionne l’évidence de l’absence et y discerne une présence.
C’est le moment de vous y plonger ou bien d’y monter, vers Pâques: http://www.theovie.org/Vivre-et-agir-dans-la-foi/Fetes-chretiennes/Paques
Belles découvertes!
Cette expression désigne la communauté dans laquelle et pour laquelle l’évangile de Jean a été rédigé (« johannique » vient de Jean). La critique historique et exégétique estime que cette communauté johannique s’est constituée en Syrie et s’est déplacée ensuite en Asie Mineure.
La gloire comme manifestation de la présence de Dieu est constamment présente dans la Bible hébraïque comme dans le Nouveau Testament. Par contre dans le Nouveau Testament, le verbe « glorifier » se trouve essentiellement dans l’évangile selon Jean.